Courir, uniquement pour se sentir bien, avec les éléments qui nous entourrent , la campagne, la plage, la montage !
Pourquoi « Fartlek » ?
La notion de fartlek (mot suédois signifiant jeu de vitesse) a été inventée en 1937 par Gösta Holmér, entraîneur d’athlétisme suédois.
Parce qu’il existe de nombreuses façons de pratiquer la course à pied, il faut parfois prospecter longtemps pour trouver ce qui nous correspond bien. À ceux qui cherchent encore, vous vous laisserez peut-être tenter par le fartlek.
Vous êtes-vous déjà demandé à partir de quand vos sprints frénétiques d’enfant s’étaient transformés en une course mesurée et contrôlée d’adulte ? Y a-t-il un basculement dans notre vie qui nous pousse à abandonner l’euphorie pour se concentrer sur notre rythme, notre souffle et notre endurance ?
C’est vrai que Fartlek , rime avec liberté ! et des fois sans la technologie qui s’est accaparée de notre sport ! Au feeling !
Le fartlek ou le fractionné libéré
Ce « jeu de vitesse » spécifique permet de faire du fractionné, qui alterne marche, course rapide et course normale, vous comprendrez rapidement le principe du fartlek. Il s’agit de la même chose, mais de manière complètement déstructurée. « Les intervalles travail-repos sont basés sur les sensations du corps et aux sensations. Avec l’entraînement fartlek, vous pouvez expérimenter le rythme et l’endurance pendant que vous courez, ce qui vous permet d’être à l’écoute de votre corps et de ses performances. » La seule règle à respecter est la suivante : alterner une course lente et une course plus rapide.
Suivez simplement vos sensations ou donnez-vous des challenges avec des étapes sur votre chemin ou selon la musique que vous écoutez. Outre une amélioration de l’endurance, le fartlek permet de libérer la course. L’absence de chronomètre et d’objectif de vitesse devrait vous permettre d’accroître le plaisir de la course. « Il s’agit d’une séance d’entraînement qui doit vous permettre de vous sentir bien et revigoré !
Avec le succès grandissant de la course à pied et la course au toujours plus , le retour à la source est salvatrice !
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